Les autorités de Yaoundé n’ont qu’un mot pour décrire la journée du 8 mars dernier : irrecevable! 4 jours après l’évènement consacré à la défense des droits des femmes dans le monde, le bilan des célébrations camerounaises selon le gouvernement est tout simplement catastrophique. Les pertes financières sont évidentes, avec seulement 42% de vente des tissus de l’évènement, tel que nous l’on confirmé des sources introduites auprès de la Cicam. Mais il y a plus grave. Traditionnellement au Cameroun, la période autour du 8 mars a une vocation précise : distraire et abrutir au maximum les camerounais. Pour cette année, la centaine de détenus du MRC, les morts dans les provinces du Nord-ouest et Sud-ouest, de même que les tensions dans l’Extrême-nord et l’Adamaoua, sont autant de sujets que le Gouvernement aurait voulu dissimuler derrière le paravent du 8 mars. Il n’en a rien été. Compte-tenu de tout ce qui précède, un décret présidentiel ordonnant la tenue d’une nouvelle journée du 8 mar
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